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JE MILITE POUR LE LIBERALISME

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Kémy est une étudiante en biologie de 22 ans. Intéressée par la politique, elle s'est rapidement encartée, à l'UMP d'abord, où elle a été très vite été déçue par les batailles d'égo. Elle découvre ensuite le libéralisme grâce à des échanges sur Twitter, puis en lisant de nombreux ouvrages d'auteurs sur le libéralisme comme Frédéric Bastiat, mais également le livre Pulp Libéralisme de Daniel Tourre, fondateur du collectif Antigone, qui explique la pensée libérale de façon pédagogique et avec de l'humour.

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" Moi, présidente..."

 

Libéralisme : des valeurs à défendre

 

Pour Kémy, les valeurs du libéralisme se construit sur deux piliers : la liberté et la responsabilité. Plus précisément, le libéralisme classique accorde une grande importance à la défense des droits naturels tels qu'énoncés dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789: « Liberté, Propriété, Sûreté et Résistance à l'Oppression ». « Pour nous, l'état, s'il existe doit se borner à assurer la protection de ces droits. Comme l'explique Frédéric Bastiat (auteur libéral du XIX ème siècle), la loi ne doit être qu'une "organisation collective du droit individuel de légitime défense" permettant de vivre en société sans empiéter sur les libertés d’autrui, tout en étant assuré  de voir les siennes protégées. Cela n'exclut pas la solidarité et la coopération mais nous pensons que celles-ci peuvent s'organiser en dehors des structures étatiques. »

 

 

Le rôle de l'État selon les libéraux


« L'état doit se borner à assurer la sécurité et le respect des libertés fondamentales de chacun. Le reste peut se régler par l'association volontaire d'individus liés par des intérêts communs. Laisser à chacun la liberté d'orienter sa vie, de gérer ses économies, de planifier ses entreprises responsabilise l'individu et cela permet à des innovations diverses d'émerger », définit Kémy. 

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Plus de liberté économique

 

Pour les libertariens (c'est-à-dire les libéraux radicalement opposés à l'intervention de l'État), le gouvernement doit exercer uniquement des fonctions régaliennes : justice, armée, police. Le marché doit donc être libérer des entraves étatiques qui lui sont imposées. « En effet, l'état en s'octroyant un pouvoir de décision sur les transactions économiques offre l'occasion à certains d'utiliser la force de la loi à leur avantage. Les choix ne sont ainsi plus libres mais contraints, et au lieu d'échanges volontaires entre différentes parties on se retrouve avec des groupes de pression qui s'opposent, essayant chacun de tirer la loi de leur côté, pour écraser la concurrence. », explique Kémy. 

 

Une économie plus libre, la fin des monopoles, le renforcement de la concurrence pour proposer des services plus avantageux : les idées libérales commencent à faire leur chemin dans la politique. 

EN ACTION KEMY !

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Crée par Daniel Tourre, ce mouvement se décline en deux phases actions : 

-  les collages d'affiches et d'autocollants
- la communication sur les réseaux sociaux comme Twitter, Facebook, et plus récemment Instagram. 

 

Le but est de faire découvrir la pensée libérale au plus grand nombre. Actuellement le collectif est constitué d'une centaine de membres, répartis sur une vingtaine villes en France. Régulièrement, le groupe se rassemble pour débattre sur des thèmes comme le revenu universel qui divise les libéraux entre eux ou  sur l'actualité. Le collectif analyse les différentes initiatives libérales, et commente l'action du gouvernement actuel.

 

Les thèmes abordés sur les affiches sont très divers avec au départ une présentation des extraits d'ouvrages libéraux majeurs pour faire connaître cette pensée. Par la suite, les affiches d'auteurs libéraux se sont transformées en des messages plus percutants, avec des images plus parlantes, mieux adaptées à ce support que les longs textes. Des thèmes d'actualité y sont abordés avec notamment l'intervention du gouvernement, qui selon les libéraux, prive les individus des moyens de développer leurs propres initiatives.

 

Le collectif Antigone, kézako ?

 

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